J’ai le plaisir et la joie de vous annoncer que L’Autre Solution vient de rejoindre La filature du Mazel, un Tiers lieux au coeur des Cévennes gardoises. Installée dans une ancienne usine de bas de soie, elle est habitée à l’année par des locataires et des coworkers. Un lieu vivant, engagé dans le développement de son territoire, la transition écologique et l’accompagnement de porteurs de projets touchant à l’écologie. Un point important lorsque j’ai pris la décision de déplacer ma micro-entreprise, il était crutial de pouvoir retrouver la même dynamique que nous avions pus trouver lorsque nous avons fondés L’Autre Solution et rejoint « Cocoon Start », sur Montpellier. Habitant la vallée de Val d’Aigoual, ma volonté était que la micro entreprise que j’avais fondé, soit encrée dans son territoire, ce qui jusqu’à présent n’avait été possible pour divers raisons, c’est aussi une réduction de trajets sur Montpellier, donc de CO2, le télétravail étant de plus en plus utilisé, je le privilégie dans la mesure du possible.
Vous pouvez échanger directement en nous envoyant un mail ou prendre rendez-vous directement par téléphone afin de se rencontrer et connaitre votre besoin.
Lorsque vous contacter L’Autre Solution, nous nous engageons à remplir dans la mesure du possible la mission que nous nous serons fixées, ensemble. À l’heure actuelle des choses nous travaillons essentiellement et ce depuis maintenant bientôt Trois ans, avec Les pailles en paille « La Perche ». L’Autre Solution à reçu la confiance et à été choisi par celle-ci pour représenter La perche sur la partie Sud-Ouest, et Sud Est, de Toulouse à Marseille pour remonter le littoral jusqu’a Sète. Si vous poussez notre porte, c ‘est justement pour une « nouvelle solution », une alternative à votre problématique.
Jérôme Savri Charot L’Autre Solution La filature du Mazel Notre Dame de la Rouvière 30570 Val d’Aigoual Mobile : 0640534793 SIRET : 44939309900022
La loi anti-gaspillage pour une économie circulaire entend accélérer le changement de modèle de production et de consommation afin de limiter les déchets et préserver les ressources naturelles, la biodiversité et le climat.
Transformer notre système en profondeur : tel est l’objectif de la loi anti-gaspillage pour une économie circulaire, dont les 130 articles permettent de lutter contre toutes les différentes formes de gaspillage. La loi vise à transformer notre économie linéaire, produire, consommer, jeter, en une économie circulaire.
Elle se décline en cinq grands axes :
sortir du plastique jetable ;
mieux informer les consommateurs ;
lutter contre le gaspillage et pour le réemploi solidaire ;
agir contre l’obsolescence programmée ;
Mieux produire ;
Elle fixe de nouveaux objectifs pour les années à venir.
Loi anti-gaspillage pour une économie circulaire : comment va t-elle changer notre quotidien ?
Sortir du plastique jetable
La loi prévoit la fin de la mise sur le marché des emballages en plastique à usage unique d’ici 2040. Pour y parvenir, des objectifs de réduction, de réutilisation et de réemploi et de recyclage seront fixés par décret. Ces objectifs sont répartis sur quatre périodes, permettant de repenser progressivement l’utilisation des plastiques à usage unique :
2021-2025 ;
2025-2030 ;
2030-2035 ;
2035-2040.
Cette mesure impacte profondément nos modes de consommation, car nous utilisons très régulièrement des produits en plastique à usage unique : tubes de crème ou de dentifrice, bidons de lessive ou de produits ménagers, bouteilles de shampoing… Il s’agit également d’une mesure forte pour l’industrie.
Trois objectifs sont fixés par le premier décret 3R (2021-2025) :
Un objectif de 20% de réduction des emballages plastiques à usage unique d’ici fin 2025, dont au minimum la moitié obtenue par recours au réemploi et à la réutilisation ;
Un objectif de tendre vers une réduction de 100% des emballages en plastique à usage unique « inutiles », tels que les blisters plastiques autour des piles et des ampoules, d’ici fin 2025 ;
Un objectif de tendre vers 100% de recyclage des emballages en plastique à usage unique d’ici le 1er janvier 2025 et pour y parvenir un objectif que les emballages en plastique à usage unique mis sur le marché soient recyclables, ne perturbent pas les chaînes de tri ou de recyclage, ne comportent pas de substances ou éléments susceptibles de limiter l’utilisation du matériau recyclé.
Plusieurs mesures ont été prises afin de réduire l’utilisation du plastique au quotidien :
Entrée en vigueur au 1er janvier 2021
La distribution gratuite des bouteilles en plastique dans les établissements recevant du public ou dans les locaux professionnels sera interdite.
Lors d’évènements festifs, culturels ou sportifs, les sponsors ne pourront plus imposer l’utilisation de bouteilles en plastique.
Les confettis en plastique seront interdits au 1er janvier 2021.
Des bacs de tri devront être installés dans les supermarchés. Ils permettront de collecter les emballages achetés après passage en caisse.
Les boites en polystyrène expansé seront interdites.
La fabrication et l’importation de sacs en plastique à usage unique sera interdite.
Entrée en vigueur au 1er janvier 2022
Le suremballage plastique des fruits et légumes frais de moins de 1,5 kilogramme sera interdit.
Les établissements recevant du public seront tenus d’être équipés d’au moins une fontaine d’eau potable accessible au public.
Les publications de presse et les publicités seront expédiées sans emballage plastique.
Les sachets de thé et de tisane en plastique non biodégradable seront interdits à la vente.
Les jouets en plastique, proposés gratuitement aux enfants dans le cadre de menus, seront interdits.
Coller une étiquette directement sur les fruits ou les légumes sera interdit, sauf si ces étiquettes sont compostables et constituées en tout ou partie de matières biosourcées.
L’État n’achètera plus de plastiques à usage unique que cela soit pour une utilisation sur ses lieux de travail ou dans les évènements qu’il organise.
Remplacer la vaisselle jetable des fast-food par de la vaisselle réutilisable
La restauration rapide devra, dès le 1er janvier 2023, utiliser de la vaisselle réutilisable pour les repas et les boissons servis sur place (gobelets, couvercles, assiettes, récipients, couverts).
Introduire une consigne mixte pour réemploiet recyclage
La France s’est fixé pour objectif de réduire de 50 % le nombre de bouteilles en plastique à usage unique d’ici à 2030. L’Ademe présentera chaque année une évaluation des performances de collecte atteintes au cours de l’année précédente. Si les performances ne sont pas atteintes, le Gouvernement définira à partir du second semestre 2023, en concertation avec les parties prenantes, les modalités de mise en œuvre d’un ou plusieurs dispositifs de consigne pour recyclage et réemploi. La collectivité en charge de la planification régionale de la prévention et de la gestion des déchets devra émettre un avis favorable pour le déploiement d’un tel dispositif. Des expérimentations seront toutefois possibles avant 2023, sur des territoires volontaires, notamment en outre-mer.
Favoriser le vrac pour réduire les emballages
Chaque consommateur peut, depuis le 1er janvier 2021, apporter un contenant réutilisable dans les commerces de vente au détail. Ce contenant doit être propre et adapté au produit acheté. Le consommateur est responsable de l’hygiène du contenant. L’établissement peut, quant à lui, refuser de servir le consommateur si le contenant apporté est sale ou inadapté.
Les vendeurs de boissons à emporter doivent proposer une tarification plus basse lorsque la boisson est vendue dans un récipient réemployable apporté par le consommateur. La mesure est entrée en vigueur dès promulgation de la loi.
Les commerces de vente au détail d’une surface de vente supérieure à 400 mètres carrés devront mettre à disposition de leurs clients des contenants réutilisables propres. Ce service est proposé à titre gratuit ou onéreux, dans le cadre de la vente de produits présentés sans emballage, pour les produits frais par exemple.
Rajouter un filtre à microfibres plastiques sur les lave-linges neufs
Selon Greenpeace, laver 6 kilos de linge en machine libérerait 500 000 microfibres de polyester et 700 000 d’acrylique. Ces micro-plastiques terminent généralement dans les océans et représentent 15 % et 31 % des 9,5 millions de tonnes de plastique déversées chaque année dans les océans (rapport de 2017 de l’IUCN). Face à ce constat, les fabricants de lave-linge devront installer un filtre à microfibres de plastique ou une autre solution interne ou externe à la machine, empêchant leur dispersion. La mesure concernera les machines neuves, mises sur le marché à compter du 1er janvier 2025.
Mieux produire
Étendre la responsabilité des industriels dans la gestion de leurs déchets en créant de nouvelles filières
De nouvelles filières pollueurs-payeurs sont créées par la loi. Objectif : que les producteurs, importateurs et distributeurs de ces nouveaux produits financent leur fin de vie.
Onze nouvelles filières sont créées.
Les produits du tabac, à compter du 1er janvier 2021.
Les jouets, à compter du 1er janvier 2022.
Les articles de sport et de loisirs à compter du 1er janvier 2022.
Les articles de bricolage et de jardin à compter du 1er janvier 2022.
Les produits ou matériaux de construction du bâtiment à compter du 1er janvier 2022.
Les voitures, camionnettes, véhicules à moteur à 2 ou 3 roues et les quadricycles à moteur à compter du 1er janvier 2022.
Les huiles minérales ou synthétiques, lubrifiantes ou industrielles, à compter du 1er janvier 2022.
Les pneus à compter du 1er janvier 2023.
Les chewing-gums, à compter du 1er janvier 2024.
Les textiles sanitaires à usage unique, y compris les lingettes préimbibées, à compter du 1er janvier 2024.
Les engins de pêche contenant du plastique à compter du 1er janvier 2025.
La loi étend également le périmètre de certaines REP, comme celle des emballages ménagers. Celle s’étend désormais aux emballages professionnels. Cette extension entre en vigueur dès le 1er janvier 2021 pour les professionnels de la restauration. Elle est ensuite étendue à l’ensemble des emballages professionnels à compter du 1er janvier 2025.
Les filières pollueurs-payeurs font également l’objet d’une profonde refonte.
Dans leurs cahiers des charges, les éco-organismes devront atteindre des objectifs chiffrés en matière de réemploi, de réparation, de réutilisation et surtout d’écoconception des produits qui sont soumis à ces filières.
L’État va également modifier le régime de sanction pesant sur les éco-organismes. Il pourra également avoir accès à plusieurs données, économiques notamment, détenues par les producteurs ou leur éco-organismes. La mesure permettra de savoir si les collectivités, lorsqu’elles assurent le service public de gestion des déchets, perçoivent une juste rétribution de la part des éco-organismes pour le service rendu.
Obliger les filières pollueur payeur à créer des plans quinquennaux d’écoconception
Les producteurs soumis aux filières pollueur-payeur devront élaborer tous les cinq ans un plan d’action de prévention et d’écoconception de leurs produits. Ceux-ci devront contenir plus de matière recyclée et être davantage recyclables. Ce plan sera révisé tous les cinq ans. Il pourra être individuel ou commun à plusieurs producteurs. Il comportera un bilan du plan précédent et définira des objectifs et des actions de prévention et d’écoconception. Ce seront les producteurs qui élaboreront ces plans et qui les transmettrons à l’éco-organisme. Une synthèse de ces plans sera accessible au public.
JE VALORISE MES BIODÉCHETS ou comment nourrir les vers et produire du compost
LE PRINCIPE
Au travail, nous produisons également des biodéchets : épluchures de fruits, restes de repas, marc de café, thé… Si aucune solution spécifique n’est mise en place, les biodéchets, composés à 80% d’eau sont mélangés avec les ordures ménagères et finissent à l’incinérateur ou en décharge. Pourtant, permettre le retour à la terre des biodéchets est un processus logique et complètement écologique. Il est donc important de prévoir une solution pour les valoriser.
MISE EN OEUVRE
Si vos locaux comprennent un restaurant d’entreprise, vous pouvez faire appel à un prestataire pour venir récupérer les biodéchets en vue de valorisation (nous savons vers qui vous orienter) en vue de leur valorisation par compostage ou méthanisation. Si votre entreprise dispose d’un espace extérieur (jardin, cour), vous pouvez valoriser vous-même les biodéchets avec un composteur. L’Autre Solution propose de vous accompagner grâce à la compétence d’un animateur en compostage certifié. Sur 1/2 journée ou 1 journée vous pouvez vous former aux premiers pas dans le compostage, seul ou avec votre équipe. C’est l’occasion d’un vrai retour à la terre. Dans tous les cas pensez à mettre un bac dédié au tri des biodéchets à certains endroits stratégiques : espace cuisine, cantine…
POUR LA PAUSE CAFÉ / DÉJEUNER, JE PASSE AU RÉUTILISABLE
OU COMMENT TROUVER DES ALTERNATIVES AUX PRODUITS JETABLES
LE PRINCIPE
Pour éviter la surconsommation de produits jetables (même s’ils sont compostables ou recyclables), vous pouvez mettre à disposition de vos collègues une version réutilisable équivalente : remplacer les gobelets de la machine à café par des mugs, équiper la cuisine en couverts, assiettes et tupperwares réutilisables, installer des petites cuillères à proximité de la machine à café pour supprimé les touillettes.
MISE EN OEUVRE
Pour constituer votre stock partagé de vaisselle réutilisable, vous pouvez opter pour un achat d’occasion (dans une ressourceriez ou sur internet) ou bien proposer une collecte d’objet inutilisés auprès de vos collègues. Votre entreprise ou votre comité d’entreprise peut également proposer un « kit de bienvenue » à chacun des nouveaux collaborateurs-trices, comprenant un mug, une gourde, ou encore une « lunchbox » pour aller chercher son déjeuner dans un restaurant à proximité.
LE +
Certaines machines à café sont équipées d’un détecteur qui repère la présence d’un mug, et verse automatiquement le café, sans délivrer de gobelet jetable, parfois à un tarif avantageux pour l’usager (qui paye moins cher son café en apportant son mug).
ASPECTS RÉGLEMENTAIRES
QUI EST RESPONSABLE DE LA GESTION DES DÉCHETS DE L'ENTREPRISE?
Lorsqu’ils sont comparables en quantité et en typologie aux déchets ménagers, les déchets des entreprises sont des déchets dits « assimilés ». En fonction de la localisation du bureau, il convient de savoir si la collectivité locale compétente prend en charge ces déchets, et selon quelles modalités. Soit les déchets peuvent effectivement être pris en charge par la collectivité qui fournira les bacs (parfois moyennant une « redevance spéciale » ), soit il conviendra de faire appel à un prestataire privé d’enlèvement.
QUELLES SONT LES OBLIGATIONS JURIDIQUES DE L'ENTREPRISES?
En tout état de cause, les entreprises ont désormais une obligation générale de tri de leurs déchets, avec le « décret 5 flux7 » du 10 mars 2016. Celui- ci impose aux entreprises de trier le bois, les plastiques, les métaux, le verre et les papiers/cartons des autres déchets. Cette obligation concerne automatiquement toute entreprise recourant à un prestataire privé d’enlèvement. Pour celles qui recourent au service public, cette obligation est applicable au delà d’un seuil de 1100L de déchets par semaine par « implantation ». Ce même décret impose que toute administration d’état regroupant plus de 20 personnes sur une même implantation doit trier ses papiers de bureau. Côté déchets organiques, tout producteur de plus de 10 tonnes de biodéchets par an, a l’obligation de les trier à la source pour assurer leur valorisation. L’Ademe estime par exemple que dans le secteur de la restauration collective, ce seuil est franchi lorsque 340 repas environ sont servis sur 220 jours.
Comme vous le savez, la paille en plastique est interdite depuis le 1er janvier 2020 et son alternative, la paille dite ‘écologique’ fait débat!
Nous, l’Autre Solution, proposons aux professionnels les meilleures alternatives biologiques aux produits plastiques et pour la paille écologique, voilà notre meilleure solution: la paille en paille bio du Perche.
Les principaux atouts de la paille écologique de La Perche
Les pailles écologiques « La Perche » ne donnent pas de goût aux boissons;
De plus, elles fonctionnent dans le chaud comme dans le froid;
Elles sont produites localement en Normandie;
Elles sont issues de l’agriculture Biologique (AB);
Elles sont réutilisables et lavables.
Après utilisation, elles sont compostables et reviennent alors à la nature pour fertiliser vos prochaines plantations. Si jamais elles devaient finir à la poubelle, pas d’inquiétude : elles se biodégradent en quelques semaines.
Ecologique
Elles sont 100% naturelles et bio, et sont produites localement dans le Perche en Normandie. Récoltées manuellement, elles sont transformées dans notre atelier de Bellême avec le renfort des jeunes de l’Institut Médico-Éducatif du Perche. Notre Association Bien Mieux travaille dans une logique d’économie Sociale et Solidaire bienveillante et épanouissante.
Compostable
Les pailles La Perche sont un co-produit de l’agriculture bio ; elles sont intégralement compostables dans une logique de circularité, et biodégradables si personne n’en prend soin et qu’elles finissent à la poubelle. Leur retour à la terre est d’autant plus facile qu’aucun produit chimique ou conservateur n’est ajouté tout au long de leur fabrication.
S’inscrit dans une démarche zéro déchet
Nous récupérons nos chutes de paille pour créer des emballages éco-conçus qui soient compatibles alimentaire. Notre atelier s’inscrit dans une démarche la plus décarbonée et zéro déchet possible. Nous compensons nos émissions carbone incompressibles via divers organismes, ainsi que via le partenariat mis en place avec notre association à l’origine de l’opération « planter 1 Million d’Arbres dans le Perche ».
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